Un moulin est attesté sur le site dès le XIIe s., les templiers de Montarouch et les moines de la Sauve Majeure s'en disputant la possession. Le commandeur et l'abbé Pierre de Laubesc prient alors l'archevêque de Bordeaux de régler ce différend. En 1196, il est décidé que le moulin relève du monastère de la Sauve Majeure. Cet établissement est mentionné en 1488 sous le nom de Moulin de Martres de Mal-Pas. Au XVIe s., il appartient aux Malet, seigneurs de Laubesc et de Castelviel. Il demeure en indivis jusqu'au XIXe s.
moulin privé
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