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Dans la culture populaire juive, un dibbouk désigne une âme errante qui prend possession d'un vivant, selon une croyance développée chez les populations hassidiques dès le 18e siècle.
Le dibbouk fait partie des créatures qui ont dépasséÌ le domaine de la superstition, pour devenir un thème inspirant les artistes. Le parcours de l'exposition mêle peinture, théâtre, cinéma, musique, littérature et culture populaire. Il présente aussi bien des amulettes que des extraits de films de Sidney Lumet et des frères Coen, et met en valeur des oeuvres de Marc Chagall, Nathan Altman, Leeonora Carrington, Michel Nedjar ou Sigalit Landau.
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